A tous ceux qui fustigent les populistes par des propos qui sentent le dédain et le mépris. Qu’ils sachent qu’ils s’opposent au petit peuple. Celui qui se frotte à la réalité, celui qui voit sa place contestée, sa religion jetée aux orties, sa patrie vendue à l’encan. Ce petit peuple ne veut pas disparaître au profit d’un mélange racial sans racines européennes. D’une population qui ne connait rien à notre mode de vie, qui n’en veut pas, mais veut imposer le sien.
Le grand remplacement. Est-ce un phantasme de petits blancs, aigris, jaloux repliés sur eux-mêmes qui ne connaissent que la peur ?
Le grand remplacement est un argument politique fallacieux destiné à tromper les braves gens qui n’aspireraient pas à accueillir des millions de migrants illégaux. Pour les idéologues progressistes qui souhaitent la disparition des français de souche, le grand remplacement n’existe pas.
Et pourtant je l’ai rencontré moi le grand remplacement. J’ai joué au foot durant 28 ans. Je n’ai jamais eu de co-équipier noir. Or aujourd’hui il suffit d’observer une équipe de foot, peut importe son niveau. Sa composition révèle sa mixité. Six ou sept joueurs de couleur, deux joueurs arabes et deux joueurs blancs.
Le grand remplacement je le constate dans mon environnement proche. J’ai une belle sœur d’origine africaine, j’ai un beau frère métis. J’ai des neveux et nièces métissés. J’ai un beau fils qui vit avec une musulmane d’origine algérienne. Un neveu de ma femme s’est converti à l’islam, il a épousé devant l’imam une musulmane d’origine algérienne. Ils ont deux filles donc musulmanes.
La réalité s’impose. Le grand remplacement est en marche.