Une fois encore les forces de l’anti-France sont à la manœuvre. Estimant sans doute que les migrants traversant la Méditerranée progressent à une vitesse jugée trop lente, elles mettent en branle des moyens considérables. Jugeant que le pourcentage de perte en mer est trop élevé, nous privant ainsi d’une partie non négligeable d’une population apte à nous régénérer. Des redresseurs de torts affrètent par le biais d’ONG des navires, dont le fleuron, l’Aquarius, n’est pas des moindres. Une dizaine de bateaux pratiquent ainsi un cabotage innovant, prenant à rebours les négriers qui importaient une main d’œuvre gratuite de l’ancien monde aux Amériques. Ces flagellateurs de mémoires importent des migrants de préférence musulmans en terre d’occident au mépris des lois.
Au nom de quelle idéologie suicidaire ces effaceurs de nations tendent à promouvoir un projet qui vise ni plus ni moins à dissoudre les français dans une société sans racines mais pourvue d’une religion qui nous est étrangère. Ce travail de sape porte ses fruits, la population française s’efface peu à peu. Elle a vécu. Certains se félicitent de ce brassage qui accouche une société hétérogène et communautaire. Ceux qui refusent cette évolution sont des moins que rien, ployant sous l’anathème. Traités de fascistes ces nouveaux parias jetés en pâture à l’opinion publique tentent de ralentir l’inéluctable.
Cette balkanisation des individus sert peut être des intérêts que nous ne soupçonnons pas. Des pays, des organisations occultes travaillent à notre perte. Les pleurnichards institutionnels déplorent la fuite des zones de guerre de ces populations avides de terres d’asiles. Mais qui attisent ces conflits : la Cia, le Mi 5, le Mossad, la DGSE, c’est probable. Tous ces malheurs qui frappent le moyen-orient ne sont pas fortuits. Cette misère humaine n’est qu’un dégât collatéral occasionné par la guerre larvée qui oppose les économies des grandes puissances.
Quant à ces bateaux qui transportent des migrants illégaux, ils contreviennent à la loi sans que cela n’offusque grand monde. Les journaleux d’ordinaire prompts à débusquer les dépassements de budget des partis politiques sont d’un manque de curiosité abyssale sur le financement de ces ONG. Soros est évoqué , mais qui connait Soros ?.
Aquarius était le titre d’une chanson des années soixante.