
les branquignols sont à la manœuvre.
On peut rire de tout mais pas avec n’importe qui.
Nous avons deux énergumènes au sommet de leur art. De jour en jour ils affinent leurs personnages. Ils manient avec un art consommé toutes les facette du comique basé sur l’absurde. Assénant des contres vérités comme d’autres utilisent des contrepéteries. Ils ont l’audace des professionnels de la blague potache. Le bonneteau n’a plus de secret pour ces escamoteurs de la vérité.
L’un adepte de la numérologie, lance à la cantonade des chiffres alarmistes avec l’assurance d’un vendeur de bretelles à la sauvette. Il cache sous un visage impassible, la joie sadique que ressent un bourreau asiatique chargé de faire avouer un innocent.
L’autre, celui qui est doté d’une légère surcharge pondérale joue sur du velours. Il arbore sans cesse une fausse bonhommie, propre à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Avec force simagrées il s’efforce d’obliger un chameau à passer par le chas d’une aiguille. Vérité d’aujourd’hui n’est pas celle de demain. Sure de son fait la démagogie ne l’effraie pas. Si le besoin l’exige, il admoneste le citoyen rétif qui n’accorde aucun crédit à ce flagorneur. Il ne fait pas dans la mesure. Il tance, il menace, il cajeole, il encourage, il peste contre l’intempérance des français, il promets les verges et le knout si nécessaire. Sa besogne achevé il passe le relais à son comparse, le maniaque des statistiques. Celui-ci complète à merveille leur numéro bien rodé de duettistes. En fait rendons à César ce qui appartient à César, leur duo de branquignols n’est que le faux nez de Macron
Ne soyons pas dupes, ces deux huluberlus sont les fossoyeurs de l’économie française, les séides de big pharma et les caudataires de l’idéologie mondialiste. HARO sur ces deux guignols.