
Aujourd’hui violences urbaines. Demain violences rurales ?
Une constatation s’impose : il existe aujourd’hui une violence exponentielle qui fait florès dans les banlieues. En effet, les cités sont indéniablement un lieu où la violence se développe sans entrave. Une certaine population fait régner une loi qui n’est plus celle de la république. Une jeunesse en rupture de ban, cherche les raisons de son errance sociale. Une déscolarisation précoce participe au manque de vision d’avenir et l’échappatoire naturel pour pallier ce handicap reste la violence gratuite. Subtilement orientée, cette violence sert les intérêts des trafiquants de drogues, mais pas seulement, les islamistes jouent sur du velours. Le duo islam et trafic de drogue vont de concert pour instrumentaliser ces bandes de voyous. Ces gangs, car ce sont des gangs s’affrontent pour le contrôle des territoires où se déroulent tous les trafics.
Mais ce déferlement de violence n’est pas circonscrit aux banlieues, il s’exporte sur les lieux de vie de tout un chacun. Personne n’est à l’abri de déclencher l’ire d’un caïd de quartier provoquée par un mauvais regard. La barbarie des gangs peut demain devenir la norme dans les beaux quartiers et s’exporter dans les campagnes aidée en cela par le saupoudrage des immigrants clandestins organisé par le gouvernement.
Les bonnes âmes s’émeuvent de l’inaction des parents, mais ne comprennent pas que ceux-ci sont dépossédés de leur autorité. La drogue génère des profits qui gonflent d’importance les enfants et leur appartenance aux gangs les met à l’abri de l’autorité parentale. Si par hasard des parents avaient des velléités de reprise en main des enfants, ils seraient confrontés aux barbus. Ces prosélytes endoctrinent la jeunesse en lui inculquant la haine de la France et des mécréants . Ce qui n’augure rien de bon pour les années à venir.
Seuls les indécrottables naïfs refusent d’affronter une réalité dérangeante. Oui cette jeunesse des cités est majoritairement issue d’une immigration maghrébine et subsaharienne. Cette deuxième ou troisième génération ne s’assimile pas et cherche à imposer par la force une religion qui nous est étrangère.
L’embrasement des cités est-il sporadique ou est-il précurseur de mouvement d’une ampleur que certains observateurs désignent comme une guérilla urbaine à venir.
Le délitement de la nation est-il inéluctable ? Les dégâts causés par les mandatures successives sont considérables, mais l’espoir qu’une jeunesse retrouve dans l’histoire de notre pays des raisons de résister aux forces qui minent nos valeurs n’est pas qu’une chimère.