La déc­la­ra­tion des droits de  l’homme et du citoyen lais­sait enten­dre qu’elle garan­tis­sait la lib­erté d’opin­ion et d’ex­pres­sion.  Le temps a passé et des lois nou­velles se sont imposées, éro­dant peu à peu cette lib­erté. La presse, celle qui for­mate l’opin­ion, a vu dimin­uer sa marge de manoeu­vre au fil des lois pro­mul­guées par des gou­verne­ments pro­gres­sistes soucieux de con­trôler les pen­sées intimes des français.  La presse d’opin­ion libre de toutes entrav­es finan­cières est réduite à peau de cha­grin.  La plu­part des jour­naux d’in­for­ma­tions aux mains de mil­liar­daires  sont large­ment sub­ven­tion­nés par l’é­tat.  Ce qui laisse peu de place à…

La mode fémi­nine est un domaine où toutes les excen­tric­ités sont per­mis­es.  Au gré de la fan­taisie des créa­teurs la mode la plus sage avoi­sine les délires fan­tas­més.  Importa­bles pour le com­mun des mor­tels, les tenues toutes plus inso­lites les unes que les autres font la joie des bobos for­tunés. La mode mas­cu­line revis­itée par des créa­teurs soumis à la cul­ture woke est une vision poli­tisée.  Nos cou­turi­ers vedettes nan­tis d’un taux de testostérone au dessous de la norme ont l’am­bi­tion de dévir­ilis­er les hommes.    Pour cela une seule méth­ode.  Habiller leurs man­nequins androg­y­nes en femmes.  De porter des…

Il n’est pas dans mon inten­tion de polémi­quer sur des sujets aus­si var­iés que la vic­toire sur­prise de l’Ukraine à l’Eu­ro­vi­sion ou du burki­ni dans les piscines de Greno­ble.   Non le sujet qui m’im­porte aujour­d’hui a un car­ac­tère plus per­son­nel. Je désire sim­ple­ment informer mes lecteurs de l’a­vancée de mon dernier roman.  C’est le sprint final.  Le dernier chapitre est en passe d’être ter­miné.  Reste à franchir le dernier obsta­cle,  l’im­pri­matur de mon édi­teur. Sous peu je soumet­trai mon texte à son oeil inquisi­teur et si mon édi­teur ne met pas son ” nihil obstat ” ce roman, dont le…

La guerre froide entre les états unis et l’u­nion sovié­tique lais­sait plan­er le risque d’une con­fronta­tion nucléaire. Celle-ci n’eut jamais lieu et un désarme­ment par­tiel se fit de part et d’autre.  Certes la crise de Cuba créa des sueurs froides à plus d’un chef d’é­tat.  Mais le statu quo pré­va­l­ut et s’éloigna le spec­tre du feu nucléaire. La croy­ance pop­u­laire for­matée par des médias com­plaisants était acquise à la thèse de la paix éter­nelle. S’imag­i­nant à tort que la men­ace des mis­siles inter­con­ti­nen­taux avait dis­paru au même titre que les Dinosaures, la pop­u­la­tion dor­mait sur ses deux oreilles. Le réveil…