Un obser­va­teur atten­tif à la marche du monde devrait éprou­ver de l’épou­vante, quand se des­sine la génèse d’une société qui promeut des valeurs nova­tri­ces des­tinées à sup­planter celles qui régis­sent nos vies depuis des lus­tres.  A titre d’ex­em­ple, on peut faire état d’une valeur qui a défié les siè­cles : la famille tra­di­tion­nelle. Celle qui est for­mée d’ un homme, d’une une femme et d’une rib­am­belle d’en­fants. Bat­tu en brèche ce pos­tu­lat est passé de mode, pour laiss­er la place à une société LGBT où les cou­ples homos et les­bi­ens jouiront des joies de la mater­nité comme tout un cha­cun.  Ceci dans l’at­tente de com­man­der sur cat­a­logue ses enfants mis au monde par manip­u­la­tion géné­tique en lab­o­ra­toire.  Par­fois la réal­ité rejoint la fic­tion. Aldous Hux­ley avait vu juste.

Un phénomène con­tem­po­rain est de nature à boule­vers­er l’or­dre établi. La fameuse vac­ci­na­tion sen­sée ter­rass­er le covid.   Mal­gré une sus­pi­cion légitime envers un vac­cin jamais util­isé sur un humain. L’é­tat veut impos­er aux français une vac­ci­na­tion dont les effets à long terme sont mal con­nus.  En cor­rélant le pass san­i­taire au vac­cin, l’é­tat cherche à stig­ma­tis­er les récal­ci­trants, et ce avec l’aide des français qui veu­lent croire que vac­ci­na­tion rime avec libéra­tion.  Seul le hasard favorise la bonne for­tune des lab­o­ra­toires. Que ceux-ci engrangent des prof­its con­sid­érables, n’est en aucun cas du à la pro­pa­gande indé­cente prodiguée aus­si bien par les poli­tiques que des médecins aveuglés par leurs cer­ti­tudes, ou peut être stipendiés par les labos ?    A se sujet une con­stata­tion s’im­pose : les sci­en­tifiques igno­rant la durée de l’im­mu­nité fournie par le vac­cin,  lais­sent enten­dre que la pos­si­bil­ité d’une troisième injec­tion n’est pas exclue.  En mur­mu­rant ils exposent la thèse suiv­ante. Il se peut que des rap­pels à inter­valles réguliers soient néces­saires dans le futur. Jamais au grand jamais n’est évo­quée l’ex­tinc­tion naturelle de l’épidémie.

A des­sein l’é­tat ali­mente la psy­chose afin de con­serv­er les français dans la peur et l’in­cer­ti­tude.  Psy­chose garante d’une servi­tude volon­taire et souhaitée.

Sous peu, la pres­sion des vac­cinés sur les non vac­cinés va s’in­ten­si­fi­er. A l’in­star des lépreux du moyen-âge les récal­ci­trants devront se munir de cré­celles afin de prévenir les bons citoyens de leurs venues.

Cette pandémie qui monop­o­lise les médias tombe fort à pro­pos. Elle dis­simule les boule­verse­ments qui vont s’a­bat­tre sur nous  L’in­for­ma­tique risque de trans­former rad­i­cale­ment les par­a­digmes qui gèrent notre quo­ti­di­en. Nous serons soumis à une sur­veil­lance accrue par caméras omniprésentes, au puçage élec­tron­ique à usage médi­cal et admin­is­tratif, au salaire uni­versel, à la dis­pari­tion de la mon­naie son­nante et trébuchante. Les per­son­nes bien infor­mées évo­quent l’Eu­ro virtuel pour demain. Il serait trop long d’évo­quer ici les immenses pos­si­bil­ités de l’in­for­ma­tique à nous for­mater. Nous l’ig­norons mais nous sommes déjà les vas­saux de la gou­ver­nance mondiale.

Mais qu’ils pren­nent garde que la mar­iée ne soit pas trop belle….