La mode fémi­nine est un domaine où toutes les excen­tric­ités sont per­mis­es.  Au gré de la fan­taisie des créa­teurs la mode la plus sage avoi­sine les délires fan­tas­més.  Importa­bles pour le com­mun des mor­tels, les tenues toutes plus inso­lites les unes que les autres font la joie des bobos fortunés.

La mode mas­cu­line revis­itée par des créa­teurs soumis à la cul­ture woke est une vision poli­tisée.  Nos cou­turi­ers vedettes nan­tis d’un taux de testostérone au dessous de la norme ont l’am­bi­tion de dévir­ilis­er les hommes.    Pour cela une seule méth­ode.  Habiller leurs man­nequins androg­y­nes en femmes.  De porter des jupettes et des chaus­settes hautes n’est plus l’a­panage des demoi­selles.   Les hommes ain­si vêtus entrent de plein pied dans une société destruc­turée.  On ne sait plus qui est qui.  Homme femme ? Non gen­ré ? Binaires non binaires ?

Une caté­gorie échappe totale­ment à cette inver­sion des valeurs.  Les femmes musul­manes.  Femmes elles sont . Femmes elles res­teront.  Par­fois l’habit fait le moine.  Une femme por­tant un burki­ni pour se baign­er ne trompe pas son monde.  La mode LGBT n’a pas l’ap­pro­ba­tion des musul­mans.  Pour eux la dif­féren­ci­a­tion des sex­es est immuable et intangible.

Nous voici devant un dilemme.  Accepter les délires du wok­isme ou tolér­er le burki­ni ? Ni l’un ni l’autre. les deux sont des­tinés à saper nos valeurs.  Le burki­ni est une arme poli­tique au ser­vice d’un islam con­quérant et dom­i­na­teur.  Il remet en cause l’i­den­tité et la lib­erté des femmes.  Et puis merde. Une femme en biki­ni est autrement plus agréable à admir­er qu’une ombre en burki­ni.   Le biki­ni oui.  Le burki­ni NON.    Vision machiste ?  Non vision gauloise.