Pourquoi met­tre sur le devant de la scène, ces deux mar­i­on­nettes longtemps con­finées entre Rhône et Saône ?   Une rai­son sup­plante les autres. Le fait que je sois natif de l’an­ci­enne cap­i­tale des Gaules est un pré­texte suff­isant pour évo­quer ces deux per­son­nages. L’un des deux a lais­sé dans l’imag­i­naire pop­u­laire une empreinte indélé­bile.   Faire le guig­nol, a gag­né ses let­tres de noblesse dans les qual­i­fi­cat­ifs dont on affu­ble par­fois un indi­vidu qui fait mon­tre de dés­in­vol­ture. Soyons plus sérieux.  A mes yeux, ces mar­i­on­nettes sym­bol­isent le com­bat mul­ti­sécu­laire entre le bien et le mal.  Si Guig­nol per­son­ni­fie le bon…

Un obser­va­teur atten­tif à la marche du monde devrait éprou­ver de l’épou­vante, quand se des­sine la génèse d’une société qui promeut des valeurs nova­tri­ces des­tinées à sup­planter celles qui régis­sent nos vies depuis des lus­tres.  A titre d’ex­em­ple, on peut faire état d’une valeur qui a défié les siè­cles : la famille tra­di­tion­nelle. Celle qui est for­mée d’ un homme, d’une une femme et d’une rib­am­belle d’en­fants. Bat­tu en brèche ce pos­tu­lat est passé de mode, pour laiss­er la place à une société LGBT où les cou­ples homos et les­bi­ens jouiront des joies de la mater­nité comme tout un chacun. …