Ces trois mots remet­tent au goût du jour, une for­mule qui en son temps causa bien des désagré­ments. Mourir pour Dantzig reste le sym­bole le plus abouti de la folie des hommes. L’Eu­rope som­bra dans une guerre frat­ri­cide qui aboutit à la pré­dom­i­nance des deux grands, à savoir les USA et l’URSS.   Les opti­mistes ser­i­nent à qui veut l’en­ten­dre que l’his­toire ne se répète pas.  Mais les pes­simistes chu­chotent que par­fois elle bégaie. Les “va t’en guerre” démoc­rates poussent-ils Biden à affron­ter l’ours russe en rase cam­pagne, pour le seul plaisir de démon­tr­er la puis­sance améri­caine ?   Ou bien assistons…

Prob­a­ble­ment ce nom n’évoque rien pour la majorité des français.  Il s’ag­it donc de raviv­er les mémoires. Le 11 Octo­bre 1970 douze para­chutistes français de la Cpi­ma trou­vaient la mort au cours d’une embus­cade aux con­fins du désert Tcha­di­en. Mort pour la France.  C’est la for­mule con­sacrée util­isée en guise d’o­rai­son funèbre.  Pour lap­idaire que ce soit, c’est utile pour désamorcer la polémique qui pour­rait sur­gir, sur le bien fondé de la présence de l’ar­mée française bien loin de ses bases.  Mais mon inten­tion n’est pas de dis­sé­quer et juger les erre­ments de la poli­tique post colo­niale des gou­verne­ments français…

Com­ment ne pas réa­gir à pro­pos du lan­gage imagé employé par le prési­dent de tous les Français pour insul­ter une caté­gorie de français.  Ceux-ci sont cer­taine­ment des indi­vidus met­tant en péril l’avenir du pays. On peut penser aux ter­ror­istes musul­mans, ou à ceux qui utilisent les cinq à six mil­lions de cartes vitales en sus des soix­ante sept mil­lions d’habi­tants, de met­tre dans le même sac les très nom­breux cen­te­naires béné­fi­ci­aires de la retraite des vieux en Algérie est sans con­teste du plus mau­vais esprit.  NON l’emmerdeur en chef désigne nom­mé­ment les salopards qui refusent le pseu­do vac­cin.  Cette thérapie…

Pour com­mencer l’année en douceur, je pro­pose un petit poème sans pré­ten­tion.  Fouil­lant dans mes archives, j’ai exhumé ce poème que d’aucuns qual­i­fieront de mir­li­ton, tant pis, je le soumets à votre cri­tique.  Pour ma défense, j’ai com­mis ces écrits en 1975. La jeunesse ne doute de rien.   Je prie le lecteur d’être indulgent.