Pays de nos ancêtres (suite)
Nous pouvons considérer que notre pays connait les premiers signes d’alerte. Le grand remplacement n’est pas un mythe, le vivre ensemble tant vanté se révèle un échec patent. Les immigrants chance pour la France que nous ont vendu nos présidents les uns après les autres n’est jamais qu’une chausse-trappe où ont chuté d’innombrables gogos. Comment imaginer que des individus qui ne possédaient pas les qualités nécessaires pour développer le pays où ils virent le jour deviendraient chez nous les détonateurs de la prospérité. Il serait injuste de passer sous silence le bilan positif de l’immigration: Pour le pays d’origine cela va sans dire, en effet des sommes astronomiques quittent l’Hexagone pour alimenter les familles restées au bled. ( en 2012. 9 milliards d’euros) Il est à craindre que ce flux ne se tarisse jamais. Nos présidents progressistes ou pas firent la réclame pour une immigration débridée. Porteuse d’un sang neuf régénérateur de nos vieilles souches. Encore faut il qu’il soit compatible. Le migrant est il donneur universel? De souhaiter la disparition de l’homme blanc a t‑il un sens ? La France des cathédrales s’est construite grâce au génie et au dure labeur d’une population autochtone. le bilan architectural est sans conteste sans commune mesure avec les réalisations africaines. Une qualité est néanmoins à porter au crédit des migrants. Une faculté de procréation largement supérieur à celle des gaulois. A terme inéluctablement nous serons minoritaire dans notre propre pays et réduit à portion congrue avec les désagréments que cela induit. Mais les priorités des français sont tout autre. Ils n’ont de cesse de réclamer un meilleur pouvoir d’achat, de la croissance, et une bonne retraite. Tant pis si nous déclinons au risque de disparaitre.