
Erdogan. Parfait maître chanteur.
Ce qualificatif peu flatteur adressé au maître de la Turquie n’est pourtant que le pâle reflet de ce personnage d’une fourberie sans égale. Comment nos gouvernants, d’une niaiserie crasse, peuvent-ils négocier avec ce satrape sans éprouver de malaise ? Il porte l’hypocrisie en bandoulière, mais ce nostalgique de l’empire ottoman reste un partisan acharné de l’oumma de préférence sous la férule de la grande Turquie. Il est prêt à toutes les palinodies pour arriver à ses fins. Du soutien discret à Daech en fourguant son pétrole, il se dit protecteur de l’Europe en retenant quatre millions de migrants avides de fondre…