
Que faire face au terrorisme ?
Cette question hante bien des esprits et ceci depuis des lustres. Ce système de combat est employé pour des raisons les plus diverses, soit pour retrouver une liberté perdue, soit pour imposer une vision de la société qui n’a pas les faveurs de la majorité. Parfois la simple haine est la seule motivation des nihilistes qui se transforment en terroristes.
Le point commun de ces individus est leur petit nombre, ce qui n’obère en rien leur pouvoir de nuisance.
Il est malaisé de désigner un homme ou une femme comme terroriste, car si ses victimes l’affubleront inévitablement de ce vocable, d’autres personnes les considèreront comme des martyrs et les désigneront comme exemple à leur jeunesse.
En effet, les Allemands durant la seconde guerre mondiale désignaient en France occupée les maquisards de terroristes, alors que la majorité de Français utilisaient le terme plus valorisant de résistants. Dans d’autres régions du monde on préfère utiliser partisan.
Le petit nombre de ces opposants est synonyme de faiblesse face à un adversaire qui dispose de forces considérables. De fait il apparaît que la seule méthode qui permet d’assumer un combat avec une chance infime de réussite est le terrorisme, par des actions isolées qui ont comme but, soit d’éliminer une seule personne détentrice d’un quelconque pouvoir, soit s’attaquer à une cible plus conséquente telle qu’une foule ou tout autre lieu concentrant un nombre important de personnes, toujours dans le but d’entretenir un climat de peur et de défiance. La situation actuelle nous offre des exemples patents avec l’explosion d’ un engin piégé au milieu d’une foule qui génère une panique indescriptible, car les morts et les blessés sont en nombre important. De même on découvre des méthodes innovantes, une attaque isolée avec une machette ou avec un véhicule automobile.
Les auteurs de ces actes que l’on qualifie d’ignobles assassins sont en réalité des combattants d’une armée pourvue d’une idéologie contraire à nos principes.
Qui dit armée sous entend guerre. Pourtant nous pouvons constater que les élus chargés de nous défendre refusent d’user de ce terme, car pour l’accepter ceux-ci devraient désigner l’adversaire, et ainsi faire montre d’un courage dont ils sont apparemment dépourvus.
Je suis certain que maintien de l’ordre serait un terme plus apprécié des tenants du politiquement correct, les dispensant ainsi de désigner nommément l’ennemi.
Car quel est-il ? L’habitude fut prise de montrer du doigt l’islamisme radical, ce qui est plus aisé et surtout moins ostracisant pour les musulmans dits modérés.
Cette population est source de bien des tracas, car la fustiger déclenche l’anathème, et de crier à l’amalgame. Cette catégorie de citoyens dont on ignore le nombre est pourtant sacrément influente, car elle oblige les individus malveillants qui auraient l’outrecuidance de les désigner à la vindicte populaire comme de potentiels terroristes, à user de précautions oratoires pour éviter le glaive de la justice.
Car enfin les terroristes qui ensanglantent nos rues, nos cafés, nos salles de spectacles, sont tous musulmans. Pourtant de bons esprits nous expliquent que tous les musulmans ne sont pas des terroristes. En effet, mais refuser d’accepter l’idée qu’une idéologie religieuse veut imposer au plus grand nombre sa philosophie est criminel.
Au cours de ces actions de guerre de nombreux innocents payent de leur vie le simple fait d’être au mauvais endroit au mauvais moment, alors que les auteurs de ces actes criminels lorsqu’ils sont appréhendés vivants risquent seulement la prison et d’être jugés comme de vulgaires assassins.
Lors de la dernière guerre mondiale, les Américains confrontés au Japon avaient pris la précaution d’enfermer dans des camps tous les citoyens Américains d’origine Japonaise. Ce moyen radical n’est bien sur pas envisageable dans nôtre pays qui n’oublions pas est la nation des droits de l’hommiste, et le simple fait de l’envisager déclencherait un tollé général. Le nombre important de Français musulmans nous interdit ce moyen de coercition, alors que faire?
Comment séparer le bon grain de l’ivraie ? Comment repérer au milieu de ses condisciples l’individu qui se radicalise. Reste à définir qui est un musulman radical, quelle différence a t‑il avec un modéré alors que tout deux ont pour lecture le coran. Quelles armes possédons nous pour lutter contre cette idéologie qui est autant politique que religieuse ? Nous resterons démunis tant que nous n’aurons pas désigné clairement notre ennemi. Or nous avons le salafisme faux-nez du wahhabisme, doctrine d’état de l’Arabie Saoudite. Or ce pays est le pivot de l’islam, la Mecque reste le lieu saint de tous les musulmans et des pétroliers…
Cherchons une solution si elle existe sinon.….….