
Vague migratoire ou complotisme?
La fête bat son plein, l’été est la période de l’insouciance, de festivals en festivals les touristes déambulent libres de toutes inquiétudes, les plages sont noires de monde, les campings sont bondés, les aéroports sont envahis, les gares ferroviaires submergées de voyageurs, les palaces fréquentés par une foultitude d’étranger, les ports occupés par une multitude de bateaux petits et grands ‚les campings-car se vendent comme des petits pains, les boites branchées refusent du monde et internet est devenu l’alpha et l’oméga.
Tout ceci fleure bon les années folles des années vingt, de 1920 à 1929 les français s’étourdirent pour oublier l’horreur de la première guerre, ne percevant pas que des évènements porteurs de sombres desseins se déroulaient dans une Europe en pleine transformation. Les années trente virent la fin de la grande crise, les conquêtes sociales qu’obtinrent les ouvriers avec le front populaire, augmenta la cécité des citoyens avec pour effet de refuser de percevoir la montée d’un mouvement totalitaire en Allemagne. Or celui-ci bouleversera leurs vies pour de longues années démontrant ainsi l’incurie des politiques français qui ne surent pas pressentir le danger, or gouverner c’est prévoir.
Aujourd’hui un observateur mal intentionné pourrait trouver une concordance certaine avec la situation actuelle.
Un danger menace nos sociétés occidentales qui pourraient, si elles n’y prennent pas garde, encourir des désagréments d’une portée considérable:
une vague de migrants déferle sur nos côtes avec le quasi assentiment de nos gouvernants, ceux-ci refusant de considérer qu’un danger puisse résulter de ce phénomène.
Soit nos édiles se voilent la face en adoptant les positions qui prévalurent en leur temps, lors des années précédant la seconde guerre mondiale. Soit, et c’est plus grave, c’est en pleine connaissance de cause des effets désastreux qui résulteront d’une migration se transformant en invasion.
Une question s’impose: quel but poursuivent nos élus, désirent t’-ils un grand métissage, un brassage de population qui à terme aurait pour résultat de favoriser la disparition de la population d’origine ?
L’argument souvent utilisé pour soutenir la thèse que notre pays fut de tout temps une terre d’immigration est une vue de l’esprit. Des historiens sérieux démontrent que cette vague de migrants d’une ampleur telle est récente, car les invasions des temps anciens qui mirent à sac notre pays ne concernèrent que quelques centaines de milliers d’individus.
Pour trancher le dilemme que nous imposent nos dirigeants à savoir la mauvaise gestion de notre avenir par un manque de clairvoyance ou des prises de décisions visant à autoriser voir encourager une migration illégale et cela s’apparente a la trahison.
Je serais enclin à envisager la seconde solution car il apparaît que rien n’est entrepris pour stopper à la source cette migration, bien au contraire des efforts se portent sur l’acceptation des migrants à s’installer à demeure chez nous. N’oublions pas le célèbre .…ils sont chez eux chez nous…de feu Tonton, alias Mitterrand.
Les médias ne s’interrogent jamais sur le financement du passage des migrants, pourtant les sommes citées sont d’une importance bien supérieur aux possibilités de ceux-ci car issus de pays très pauvres.
Qui finance? dans quel but?
Qui fomente ce grand dessein qui promeut le grand remplacement ?
Être et durer.