
C’était mieux avant.
Voilà bien des propos qui fleurent bon les passéistes, les vieux blanchis sous le harnois, les nostalgiques du passé, les vieillards chenus, les aigris, les retraités et si j’osai un gros mot les laudateurs du maréchal. Peut être ont ils torts ces admirateurs d’un passé révolu. Allez dire aux jeunes femmes modernes que se rendre au lavoir municipal et s’agenouiller pour laver du linge était un plaisir indicible. Expliquez aux cuisinières d’aujourd’hui qu’avant l’intrusion du micro-ondes, elles perdaient un temps précieux à mitonner des petits plats pour leurs familles. Donnez des raisons aux femmes libérées qui assument leur sexualité en…