
Avons nous une politique migratoire?
Cette question légitime que tout citoyen devrait poser n’a semble-t-il pas les faveurs des grands médias qui ne relaient pas cette interrogation. Nos dirigeants ont-ils réfléchi à cette épineuse question. Sans doute oui, si j’entretiens une piètre opinion de ces gens là, je ne mésestime pas leur intelligence ni leur faculté de nuisance. En effet le ressenti d’une absence de politique migratoire n’est qu’illusion. La cécité apparente dont fait montre l’oligarchie au pouvoir n’est qu’une supercherie. C’est une politique délibérée qui a pour but de favoriser la venue d’une population pourvue de valeurs et de mœurs totalement étrangers aux nôtres.
Quiconque voyage dans notre beau pays constate — à moins d’être obtus — un changement radical d’habitudes vestimentaires, alimentaires, religieuses, de langages et même de pilosité. Afin de marquer nos divergences je pourrais évoquer des comportements inappropriés envers les femmes, mais je manquerais de retenue. Ce bouleversement sociologique voulu et encouragé est contraire à notre bien commun. Pourquoi détruire l’homogénéité de notre nation, au profit de quelle utopie? Eradiquer nos paysans berrichons, bretons, bourguignons, occitans, picards et autres, afin d’offrir ces terres nourricières à des barbaresques ou autres moyens-orientaux, voir des ressortissants des montagnes balkaniques ou des fellahs du désert sahélien n’a aucun sens si ce n’est de participer à la disparition d’une population et d’un pays qui fut la grandeur de l’Europe.
Les pauvres hères qui campent aux abords du canal saint Martin sont l’exemple frappant de cette politique suicidaire. Un étranger extra européen désireux de se rendre en villégiature dans notre vielle France doit posséder un visa en bonne et due forme. Pour l’obtenir il doit démontrer qu’il possède un moyen d’existence, et un lieu de séjour. Sans ce sésame séjourner sur notre sol est illégal. Donc passible d’expulsion. Or rien de ceci ne se réalise, mieux encore des élus parisiens s’insurgent contre les conditions de vie de ces illégaux, qui par un tour de passe-passe deviennent des migrants dotés d’un arsenal de droits qui assurent une totale impunité.
De multiples organisations s’emploient à fortifier l’implantation de ces envahisseurs pacifiques. Le resteront-ils Ad vitam aeternam? Osera t‑on un jour désigner ces aidants par le terme infamant que l’on imputait jadis à ceux qui aidaient l’occupant nazi : collaborateurs.…..
Les allemands manquaient de jugeote ; il suffisait de venir avec des valises.