Gilets jaunes et marée verte.
Mouvement anecdotique au pouvoir de nuisances trop faible ou flux annonciateur de troubles plus incapacitants ? L’avenir nous éclairera. Ces blocages de routes démontrent l’exaspération des français qui lassés des ponctions financières à répétition tentent d’exposer leur mécontentement. L’alibi écologique n’a pas convaincu grand monde, de dénoncer la voiture particulière comme seule responsable de la pollution est de la pure démagogie. La non prise en compte de la responsabilité des camions, des bateaux, des avions qui sont dégrévés de certaines taxes est une escroquerie. Gardons à l’esprit les pays dont les centrales à charbon fonctionnent à plein régime et nous trouvons là des pollueurs autrement plus efficaces.
Le demi succès ou le demi échec des gilets jaunes démontrent la difficulté de réunir des forces capables d’obliger un gouvernement à négocier. Dès lors, l’absence des syndicats et des partis politiques pèse sur le résultat. L’attitude frileuse des organisations syndicales des routiers est significative, gardant jalousement des privilèges qu’envient les possesseurs d’automobiles. Ils se gardent bien d’engager un bras de fer avec un gouvernement enclin à les ménager.
Cette colère envers cette énième hausse du carburant est sans doute justifiée, mais quid des autres problèmes que nous devons affronter, dont certains sont un péril pour notre avenir. Ces avatars pétroliers font la joie des médias qui occultent ainsi des sujets autrement brulants. La marée verte de l’islam peut à loisir prospérer et fortifier son emprise sur les esprits pour tenter d’ imposer des lois scélérates contraire à notre philosophie. Notre manque de combativité favorise une idéologie mortifère qui désire nous mettre en esclavage et la seule raison de notre ire est la hausse du carburant.
Pour beaucoup la priorité de ce combat n’est pas évident, alors qu’il est impératif. Une nouvelle mouture de la loi de 1905 est dans les cartons pour prendre en compte les spécificités de l’islam.
Placé devant un choix, le degré de nocivité des gilets verts ou la hausse des carburants. J’ai choisi depuis longtemps. Et vous?