Cette con­stante rythme notre quo­ti­di­en. Il n’est pas de jours apaisés, la vio­lence pos­sède de nom­breux vis­ages et impose sa loi. Elle ne se dis­simule nulle­ment, elle est vio­lence des ban­lieues, vio­lence dans les trans­ports publics, vio­lence des man­i­fes­tants, vio­lence des forces de l’or­dre, vio­lence aux urgences, dans les écoles, les col­lèges, dans la rue, dans les quartiers, dans les cités, vio­lence envers les femmes. Incendies des églis­es, pro­fa­na­tion des cimetières, sans oubli­er une vio­lence majeure, celle des inté­gristes musul­mans cause de nom­breux morts.
Cela va t‑il cess­er ou au con­traire s’am­pli­fi­er ? Nul ne le sait. Néan­moins de con­stater le malaise que la France endure est l’év­i­dence même. Notre société est en proie à des intérêts con­tra­dic­toires. Le com­mu­nau­tarisme étend ses rets et attise la haine. Des bou­teurs de feux s’agi­tent en couliss­es, ils prô­nent une France mul­ti cul­turelle pourvue de reli­gions divers­es. Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour s’apercevoir que l’une d’en­tre elles prend le pas sur les autres. Por­teuse de valeurs étrangères à notre civil­i­sa­tion, elle porte en germe une future con­fronta­tion d’une vio­lence prévisible.
Lorsque la vio­lence règne en maître, seuls les plus forts, les plus déter­minés sur­vivent. A nous de décider si nous voulons survivre.