Bonne année 2020.

Bonne année 2020.

Bonne année 2020.

C’est le moins que je puisse souhaiter à toutes les per­son­nes bien­veil­lantes qui per­dent leur temps à lire mes diva­ga­tions pour ne pas dire mes élu­cubra­tions. Voila les mon­dan­ités exé­cutées, prenons un instant pour définir le sens que l’on attribue à ce souhait sou­vent débité par habitude.
La politesse l’ex­ige, le sens com­mun le propage sans bien savoir ce que sig­ni­fie bonne année.
Pour nous van­i­teux occi­den­taux, ce vœu appelle l’op­u­lence. Tou­jours plus d’ar­gent, plus de gad­gets, plus de voitures tou­jours plus gross­es, plus de con­quêtes amoureuses, plus de plaisirs.
Pour les couch­es pop­u­laires défa­vorisées vivant au dessous du seuil de pau­vreté, une bonne année con­sis­terait à amélior­er le quo­ti­di­en et de vivre de façon décente.
Pour les pays en voie de développe­ment où le niveau de vie frise l’indi­gence. Un mil­liard d’habi­tants a l’outre­cuid­ance de vouloir manger à sa faim. Quant aux chré­tiens d’ori­ent, une exi­gence folle est réclamée, sim­ple­ment vivre, car mas­sacrés sans compter par des musul­mans mani­ant le sabre plus allè­gre­ment que le goupillon.
La moitié de l’hu­man­ité est com­posé de femmes. Pour celles enfer­mées par un sys­tème religieux opposé aux droits des femmes, une bonne année con­sis­terait à récupér­er leur dig­nité et l’é­gal­ité de leurs droits.
Pour les listes com­mu­nau­taires musul­manes qui d’év­i­dence ne man­queront pas de se présen­ter aux élec­tions munic­i­pales, une vic­toire dans cer­taines com­munes n’est pas à exclure. Ce cas de fig­ure pour­rait con­venir comme bonne année.
Donc de souhaiter une bonne année au monde entier par­ticipe à un altru­isme de bon aloi mais com­porte un risque con­sid­érable. Si l’on con­sid­ère des mou­ve­ments ouverte­ment hos­tiles aux valeurs prisées en occi­dent tels que aqmi, daech, boko aram, al quai­da ou les tal­ibans, on peut con­sid­ér­er que pour “ces braves gens” empreints de sol­lic­i­tude et d’amour envers leurs prochains, une bonne année son­nerait le glas de nos espérances.
Con­clu­sion. Gar­dons nous de souhaiter une bonne année trop hâtive­ment à des gens qui n’ont qu’une ambi­tion, nous assu­jet­tir ou nous voir disparaître.
Je souhaite tout de même une bonne année à ceux qui gar­dent les yeux ouverts. 

Category : Actualités

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