
La diversité dans tous ses états.
Voila bien un sujet délicat à traiter. Je l’aborde à pas comptés, la plus grande prudence s’impose à quiconque désire rester à l’abri des lois scélérates qui musèlent la liberté d’expression. Le désir de se tenir éloigné des geôles du pouvoir nécessite le choix d’un vocabulaire expurgé de mots politiquement incorrects. S’insurger contre des faits dument attestés peut concourir à attirer sur soi les foudres de Thémis.
Ceci dit, je voudrais attirer l’attention sur des évolutions de la société qui ne semblent pas troubler grand monde soit par sympathie pour ces nouveautés, soit pratiquant la politique de l’autruche. Nos concitoyens adhèrent à ces pressions journalières sans éprouver le moindre désaccord.
Pour ma part j’observe avec un œil exercé et vigilant la société qui m’a vue naitre, or celle-ci évolue dans une direction qui me laisse perplexe. Suis-je le seul à percevoir la manière insidieuse de nous imposer un multiculturalisme pas forcément souhaité par une population attachée à des valeurs ancestrales inspirées d’une histoire multi séculaire. Ainsi par le biais de la publicité on accroit l’idée que notre population est majoritairement composée de citoyens de multiples couleurs. Par ailleurs un spectateur lambda peut aisément constater que les humoristes d’aujourd’hui sont massivement porteurs d’un humour d’outre méditerranée. Les médias toujours aux ordres ne manquent pas de faire la part belle aux journalistes issus de la diversité visible.
Il va de soi que le sport véhicule ces nouveaux dictats et impose la diversité au détriment de la population de souche, et laisse portion congrue à la majorité gauloise. Le monde politique ne saurait se distinguer en n’imitant pas cette avancée inexorable qui scelle notre destin. On ne compte plus les élus, de conseillers municipaux à députés ou sénateurs issus de cette diversité très souvent musulmane.
Tout citoyen comptable de l’avenir de ses enfants constate sans beaucoup de difficulté que les français d’origine celte sont une composante qui tend à disparaitre. Si nombre de nos concitoyens s’accommodent de cette disparition à long terme et ne sont pas horrifiés par l’effondrement de nos cathédrales c’est que nous méritons cette punition. Ou réagissons et démontrons à nos remplaçants que nous ne sommes pas encore morts.