
Comment financer les retraites?
En d’autres temps certains cherchèrent sans succès le graal, la pierre philosophale, l’eldorado, le monstre du loch Ness, le yéti ou l’or des nazis. L’état français cherche aujourd’hui la formule magique permettant de se sortir de l’imbroglio du financement des retraites. Or celui-ci se heurte à des difficultés multiples. Le nombre d’actifs ne cesse de diminuer avec pour conséquence une baisse sensible des cotisations alors que le nombre de retraités est en constante augmentation. De plus ils jouent les prolongations. L’espérance de vie autorise quelques chanceux de jouir d’une retraite dont la durée est comparable aux années cotisées.
Le système par répartition atteint ses limites et ne peut plus emplir le rôle qui lui est dévolu. C’est donc à l’état qu’il incombe de combler le déficit. L’état s’oriente soit sur une augmentation des cotisations, soit sur le recul du départ à la retraite. Négligeant le fait que bon nombre de salariés sont sans emploi à 60 ans. Cela induit à terme une baisse des pensions déclenchant l’ire des français.
Imposant ces mesures impopulaires l’état fait la sourde oreille et de pas de clercs en pas de clercs ne cesse de bafouiller sa stratégie.
Désirant apporter ma modeste contribution mais n’étant pas expert en économie, mon point de vue sera forcément simpliste. Ainsi il existe un fond d’amortissement de la dette sociale qui à lui seul serait capable d’éponger le déficit. D’autres pistes s’offrent à nous. Si l’on supprime toutes les subventions allouées aux syndicats, à la presse, aux associations multiples et variées, sans oublier l’AFD ( Aide française pour le développement) et les immigrés illégaux. On obtient un pactole de plusieurs milliards d’euros et ceci en fichant une paix royale aux français qui cotisent. Et je ne parle pas de l’argent versé à l’Europe.