
Le terrorisme et la tentation du contre-terrorisme.
Ce sujet mériterait une étude approfondie que je ne peux qu’effleurer en ces quelques lignes.
Que faire face au terrorisme ?
Deux solutions s’offrent à nous. Soit nous faisons le dos rond et encaissons les coups en se forgeant un rôle de victimes expiatoires, soit nous montrons les crocs et rendons coups pour coups.
La première option est celle adoptée par nos gouvernements constitués d’émasculés. Cette inaction est une incitation pour nos bourreaux à poursuivre leurs activités destructives. Elle peut également susciter des réactions isolées et individuelles consistant à prendre les armes à l’encontre de supposés compagnons de route des terroristes. La difficulté rencontrée par ces individus agissant de leur propre initiative est l’absence de cible clairement désignée.
Qui sont les terroristes ? Devant le refus de nos gouvernants de désigner l’ennemi, chaque citoyen a la lourde charge d’identifier par lui même les terroristes. Néanmoins il apparait sans conteste que les tueurs possèdent un facteur d’identification en commun : ils sont tous musulmans.
Nos élus ont sans doute peur d’indisposer les nombreux adeptes de l’islam. Pour se dédouaner ils tentent d’imposer le concept de l’islam politique qui serait un dévoiement et une lecture erronée des écrits du prophète. Cette présentation est fallacieuse. L’islam est dans sa conception éminemment politique. Le coran est un livre politique.
Macron le sophiste brandit le mot à la mode : séparatisme. C’est une supercherie. Pour revendiquer le séparatisme, faudrait-il que l’union soit réalisée. Or il n’en est rien, l’assimilation est factice.
L’adversaire désigné. Le contre terrorisme est-il le moyen radical d’éradiquer les ravages du terrorisme ? Oui et non. Un contre terrorisme privé de soutien populaire est voué à l’échec. A l’inverse le contre terrorisme adossé à l’état a de bonnes chances de parvenir à ses fins.
L’exemple donné par l’état d’Israël qui a construit une doctrine d’action efficace. Confronté depuis des lustres à l’irrédentisme musulman, l’état a adopté une vieille méthode : œil pour œil, dent pour dent. L’acte le plus anodin contre Israël déclenche des représailles sanglantes qui peu à peu freinent les tentatives d’attentat.
En France après les attentats meurtriers contre Charlie hebdo, contre le bataclan et l’épicerie casher, on a attendu vainement une réponse appropriée. Ah si nos gouvernants ont morigéné les imams qui vocifèrent et vilipendent les valeurs de l’occident on pouvait attendre l’application du knout ou du chat à neuf queues. Mais les lâches qui gouvernent ne peuvent que psalmodier des incantations pleurnichardes. Pas d’amalgame, nous sommes tous Charlie. Ces virils propos opposés au terrorisme musulman ne pèsent pas bien lourd.
Nous sommes faibles face à des gens qui ne respectent que la force.
Tu as tout à fait raison. Jean-Marie Le Pen a dit un jour : ” Ce qui manque en France, ce sont des couilles”.