
Bientôt la disparition de l’argent ?
Obnubilés par l’épidémie du coronavirus, notre vision des événements est forcément centrée sur celle-ci et participe à l’occultation des nombreux problèmes qui nous menacent. Une question se pose en priorité. Serons nous encore en vie demain ? Cette interrogation couvre d’une chape de plomb toutes questions annexes.
Au demeurant cette pandémie tombe fort à propos, car elle illustre de manière très convaincante une manœuvre dolosive concoctée à notre encontre. Depuis quelques années les publicités télévisuelles nous susurrent à l’oreille que le paiement par carte bancaire est l’avenir radieux de l’humanité. Le paiement sans contact est assurément l’alpha et l’oméga du progressisme. Aujourd’hui toucher physiquement l’argent est un moyen infaillible de contracter le virus. Ainsi la nocivité avérée de la monnaie sonnante et trébuchante est révélée au public de façon péremptoire. En reléguant au diable les moyens de paiements moyenâgeux tels que les chèques ou la monnaie papier, on peut sans courir de grands risques prédire la disparition à court terme de l’argent. En extrapolant on peut imaginer une main connectée qui ringardisera la carte bancaire.
Ainsi la panoplie des moyens coercitifs mis à la disposition des états pour faire de nous des citoyens aux ordres vient de s’enrichir significativement. La main mise sur nos économies est un moyen de pression formidable. Fini le bas de laine, fini la cassette enterrée au fond du jardin. Pieds et poings liés nous voici à la merci de nos suborneurs, comment résister à un état tentaculaire, alors que celui-ci aura beau jeu par un simple clic de nous rendre pauvre comme Job. Une lueur d’intelligence pourrait-elle s’allumer dans les cerveaux de nos compatriotes pour endiguer l’agit-prop qui nous submerge ? Cette masse d’infos qui cache celle qui annonce la mort des femmes et hommes libres.
Si le diable se cache dans les détails, gardons nous de ce tour de passe-passe qui fortifie le futur système de gouvernance.