L’après coronavirus. Demain comme hier.

L’après coronavirus. Demain comme hier.

L’après coronavirus. Demain comme hier.

Préam­bule. Tous les événe­ments trag­iques qui ont endeuil­lés notre pays au fil des siè­cles n’ont jamais entravés la bonne marche des affaires. La con­som­ma­tion des biens s’ac­croit mal­gré tous les obstacles.

Il n’est pas pos­si­ble d’évo­quer des sujets impor­tants qui enga­gent l’avenir de nos sociétés tant le coro­n­avirus encom­bre les infos tous médias con­fon­dus. Ain­si tout sens cri­tique est étouf­fé et des inter­ro­ga­tions cap­i­tales passent à la trappe.
Certes notre avenir immé­di­at est peut être com­pro­mis par l’im­por­tance de cette pandémie. Si celle-ci détru­it la moitié de l’hu­man­ité, alors plus grand chose n’au­ra d’im­por­tance. En cas con­traire si nous sor­tons rel­a­tive­ment indemnes de cette attaque sournoise. Tous les prob­lèmes mis sous le tapis ressur­giront avec d’au­tant plus de vir­u­lence qu’ils auront prospérés durant notre absence de vigilance.
Le dan­ger majeur, qui à mes yeux obère notre avenir, est sans con­teste l’im­mi­gra­tion. Cette vague migra­toire inédite dans l’his­toire de notre pays con­di­tionne l’avenir de nos enfants.
Le grand rem­place­ment ne serait pour cer­tains qu’un phan­tasme manip­ulé par les pop­ulistes pour aug­menter leurs scores élec­toraux alors qu’il est en réal­ité le thème majeur de notre futur.
Com­bi­en de citoyens français ont con­science de la dis­pari­tion pro­gram­mée de ce que l’on nomme par déri­sion le vieux mâle blanc, hétéro­sex­uel, de con­fes­sion chré­ti­enne et de cul­ture gré­co-latine ? Com­bi­en de citoyens savent que 30 % de français sont d’o­rig­ine étrangère dont une majorité est issue d’Afrique du nord ou sub­sa­hari­enne ? Des extrap­o­la­tions sur la démo­gra­phie annon­cent une cat­a­stro­phe. Dans vingt à trente ans la pop­u­la­tion de souche sera minori­taire dans son pro­pre pays. Ceci acté, cela devrait suf­fire à reléguer tous nos autres soucis aux oubli­ettes. En effet l’im­mi­gra­tion va défer­ler sur le con­ti­nent européen poussée par le change­ment cli­ma­tique, vecteur de stéril­i­sa­tion des ter­res naguère fer­tiles. Dans cer­taines par­ties du globe la mon­tée des océans chas­sera des pop­u­la­tions en direc­tion de ter­res accueil­lantes. La démo­gra­phie galopante Africaine incit­era à tou­jours plus d’émigration.
Ces périls dont les prémices sont aveuglants pour qui veut bien écar­quiller les yeux devraient nous inciter à nous en prémunir.
J’a­jouterai que peu de con­tribuables ont une vision juste des sommes con­sid­érables ali­men­tant le flux inin­ter­rompu d’une migra­tion qui n’a que faire d’une épidémie.
D’év­i­dence de profér­er à tous vents que demain ne sera pas comme hier est une fumis­terie ressas­sée à chaque acci­dent de l’his­toire. La course à la con­som­ma­tion, freinée dans son élan, repar­ti­ra de plus belle et l’ap­pétit inex­tin­guible de la finance à domin­er le monde ne sera jamais assou­vi. L’im­mi­gra­tion est une arme. Non pas de dis­sua­sion mais de domination. 

Category : Actualités

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