Publicité et terrorisme.

Publicité et terrorisme.

Publicité et terrorisme.

Si l’heure du bilan d’après coro­na n’est pas encore venue. Il est des réal­ités cachées aux pro­fanes qui appa­rais­sent aux yeux des citoyens dont le sens cri­tique est en éveil.
La pub­lic­ité et le ter­ror­isme n’ont à pri­ori bien peu de points com­muns. Néan­moins ils sont des thèmes récur­rents qui appor­tent des cer­ti­tudes au com­mun des mor­tels. Garan­tis­sant ain­si une tran­quil­lité de l’e­sprit favor­able à un som­meil réparateur.
La terre peut trem­bler, un raz de marée ravageur peut défer­ler sur des villes, des vol­cans peu­vent ensevelir des pop­u­la­tions entières, des feux de forêts enlèvent des vies, des acci­dents nucléaires propa­gent une irra­di­a­tion que rien n’ar­rête, des tor­nades pul­vérisent des bour­gades, des acci­dents fer­rovi­aires et aériens boule­versent la vie de familles entières. La pub­lic­ité n’a que faire des acci­dents de la vie. Le covid 19 peut éradi­quer des pop­u­la­tions sans défense, la télé, la radio, la presse inlass­able­ment nous van­tent des pro­duits de con­som­ma­tion des­tinés à amélior­er nos pau­vres vies.
Peu importe que le chô­mage aug­mente, peu importe que des familles soient endeuil­lées, la pub­lic­ité pour­suit son tra­vail de sape. Une météorite pour­rait frap­per la terre, le con­som­ma­teur est prié de ne pas inter­rompre son activ­ité. Si l’ar­gent n’a pas d’odeur on peut con­stater qu’il n’a aucun sentiment.
Con­tre vents et marées la pub­lic­ité s’in­stalle durablement.
A l’im­i­ta­tion de ce pili­er inamovi­ble de nos cer­ti­tudes, le ter­ror­isme occupe toute sa place. Coro­na virus ou pluie tor­ren­tielle, rien n’ar­rête le ter­ror­isme. Les médias qui pas à pas col­lent à la pandémie omet­tent délibéré­ment de com­menter le con­tin­u­um ter­ror­iste. Pour­tant ce phénomène s’in­vite régulière­ment à la une des jour­naux. Il n’est pas de mois sans attaque aux couteaux per­pétrée par un dji­hadiste hurlant sa foi aux cris d’Al­lah Akbar. Ce qui ne laisse plan­er aucun doute sur sa motivation.
Mal­gré ces indices com­mi­na­toires qui con­va­in­craient un enfant de cinq ans, nos dirigeants refusent l’év­i­dence. Usant de pré­cau­tions ora­toires, ils hési­tent à nom­mer ter­ror­iste islamique ce genre d’as­sail­lant, lais­sant enten­dre aux gogos qu’il n’est sans doute qu’un déséquilibré.
Nul n’est dupe. Pour autant cet acharne­ment à fal­si­fi­er la vérité dis­crédite chaque jour un peu plus nos gou­ver­nants qui de volte face en volte face sont con­fon­dants de ridicule.
En con­clu­sion toutes ces palin­odies ne trou­bleront jamais les veilleurs. 

Category : Actualités , Réflexion

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