
covid19. A qui profite le crime ?
Bien que l’épidémie ne donne pas vraiment des signes d’essoufflements, les optimistes scrutant les chiffres décèlent une possible décrue de la pandémie. Est-il raisonnable de crier victoire et de vendre la peau de l’ours ? Nul ne le sait. Le déconfinement tant espéré ne risque t‑il d’offrir une deuxième chance à ce virus qui cache ses origines. Est-il naturel ou né de la main de l’homme ou s’est-il échappé par une nuit sans lune ? Des apprentis sorciers ont-ils joué avec le feu ? Peut importe il est là et notre vie s’en trouve bouleversée. Qui va en tirer profit ? Si on examine sommairement les troubles occasionnés par le méchant virus, il est évident que le gouvernement trouve des raisons d’être satisfait. Quant aux gouvernés ils perdent la dernière liberté en leur possession, il s’agissait de la liberté de circuler à sa guise et ceci sans permis ni autorisation. L’état tentaculaire avait omis de taxer la libre circulation dans ses frontières. Certes hors du pays un passeport était nécessaire moyennant finance. Respirer l’air ambiant est encore gratuit, encore que nous n’ayons droit qu’a un ersatz car l’air pur n’est plus de ce monde depuis belle lurette. Cette liberté de circuler chèrement acquise est supprimée d’un coup de baguette magique. Le confinement a bon dos, le gouvernement a trouvé la formule idoine pour laisser les fâcheux rivés sur leurs canapés. Les grincheux astreints à camper jour et nuit dans leurs pénates ont un aperçu de leur futur. Le covid grimé en épée de Damoclès est l’arme secrète de la mondialisation. Allons nous de bonne grâce accepter un vaccin qui à notre insu risque de nous inoculer des nanos technologies ? Allons nous accepter sans broncher tous les contrôles à base de reconnaissance faciale ? Allons nous courber l’échine pour échapper aux drones inquisiteurs ? Allons nous accepter l’inéluctable de céder notre place aux machines et recevoir l’obole du salaire universel. Devrons nous nous faufiler pour échapper aux caméras indiscrètes qui nous suivent pas à pas ? Sommes nous aveugle pour ne pas voir l’asservissement volontaire où nous sommes plongés au nom de notre survie ? La pandémie au service de l’oligarchie mondialisée va éteindre la lueur d’espoir suscité par un retour au protectionnisme, souhaité par les français lorsqu’ils ont découvert l’ampleur du bradage de notre économie. Une question s’impose. Quand ?
Tres bonne analyse de notre ami Gilles. On voit qu’il suit bien l’actualité virale.