
L’enfer est pavé de bonnes intentions.
Nous assistons à un déploiement de mesures semblant de prime abord être de bon sens. Vacciner pour éviter des maladies qui naguère éliminaient les plus faibles est considéré comme judicieux. Imposer des applications sur smartphones destinées à suivre et déceler des personnes infectées est une mesure propre à susciter l’approbation de tout un chacun. Placer des caméras filmant à toutes heures du jour et de la nuit facilitera grandement le travail de la police. Celle-ci pourra à son aise traquer les kidnappeurs d’enfants et tout autre fauteur de trouble. Les drones de surveillance suivent nos pérégrinations pas à pas avec le but avoué de faire cesser les déprédations occasionnées aux biens publics. La libération anticipée de 15.000 taulards évitera sans doute la contagion du covid dans les prisons. D’autoriser les rappeurs à exprimer dans un langage imagé tout le mépris qu’ils affichent pour notre pays est le parfait exemple de la liberté d’expression chère à nos islamo-gauchistes. Mais nous attendions avec impatience la mesure phare de l’idéologie dominante, seule habilitée à délivrer la vérité autorisant la liberté de parole. La voilà. La loi Avia du nom de son instigatrice laisse aux GAFA le soin de sanctionner les propos offensant la bienséance, par le biais de Facebook, twetter et autre instagram. Les factieux qui dénigrent les bienfaits de l’immigration n’ont qu’a bien se tenir.
Toutes ces merveilleuses innovations ne sont-elles pas sans danger et ne dissimulent-elles pas des effets pervers ? Les vaccinations seront l’opportunité de nous inoculer des puces indésirables capables de fournir des indications intimes à un pouvoir avide de contrôler ses citoyens. Les diverse applications de smartphone ne poursuivent-elles pas le même but ? Que dire des drones maléfiques tournoyant sans cesse sur nos têtes traquant le moindre de nos gestes ? Les 15.000 taulards indemnes du covid pourront à loisir reprendre leurs activités délictueuses et fournir aux hôpitaux et morgues un arrivage renouvelé. La liberté de parole des rappeurs qui appellent à tuer des bébés blancs pourrait pour un esprit chagrin s’assimiler à un appel au meurtre. Quand à la loi Avia, quelle merveilleuse trouvaille pour réduire au silence les opposants. Si nous avons l’innocence de croire à l’innocuité de ces mesures, alors c’est d’une gravité qui n’augure rien de bon. Notre futur sera conditionné par l’emprise de Big brother utilisant des mesures de surveillance inédite dans l’histoire de l’humanité. Pour les optimistes ou les pessimistes c’est selon, je conseille la lecture du meilleur des mondes de Aldous Huxley.
Un avant goût de l’univers concentrationnaire