Disparition de nos libertés: demain l’univers concentrationnaire ?

Disparition de nos libertés: demain l’univers concentrationnaire ?

Disparition de nos libertés: demain l’univers concentrationnaire ?

La manipulation par les médias et disparition de nos libertés

Les médias sont sources d’in­for­ma­tions et de dés­in­for­ma­tions, car fac­teur d’in­tro­mis­sion dans nos cerveaux de valeurs étrangères à notre cul­ture. De nous faire pren­dre des vessies pour des lanternes est la fonc­tion dévolue aux médias stipendiées par la finance inter­na­tionale. A qui appar­ti­en­nent les groupes de presse ? Sinon à des mil­liar­daires apa­trides. Les médias, mélangeant à des­sein la pub­lic­ité et l’in­for­ma­tion générale, pilon­nent quo­ti­di­en­nement notre per­cep­tion visuelle et audi­tive. Cette méth­ode répéti­tive a pour but inavoué de nous don­ner à accepter pour excel­lente des idées con­tre lesqu’elles nous nous seri­ons insurgés il y a peu. L’idée que des homo­sex­uels puis­sent se mari­er et avoir des enfants aurait mené au bagne un pro­pa­gan­diste des années trente. Aujour­d’hui, grâce à une pro­pa­gande de tous les instants, cette idée n’a pra­tique­ment plus de con­tra­dicteur. La répéti­tion d’un slo­gan, d’une image, d’une parole a démon­tré l’ef­fi­cac­ité de la méth­ode. Vingt fois sur le méti­er remet­tez votre ouvrage !

Nous évo­querons donc le sujet archi rebat­tu, mais pas encore bien assim­ilé, de la perte pro­gres­sive de nos lib­ertés. L’u­nivers con­cen­tra­tionnaire se pro­file à l’hori­zon. On ne peut nier que cette pandémie du covid 19 vient à point nom­mé. Si elle n’é­tait acci­den­telle il eut fal­lu l’in­ven­ter. Ce con­fine­ment imposé par des stratèges incom­pé­tents a réus­si l’im­pens­able. Nous avons accep­té cette coerci­tion sans moufter. Con­tents et heureux d’être empris­on­nés : plus aucune manif, protes­ta­tion et casse dans les rues. Demain, accepterons nous l’u­nivers con­cen­tra­tionnaire ?

De l’incohérence des décisions

Le monar­que s’est sans doute frot­té les mains avec délec­ta­tion. Un fonc­tion­naire facétieux (c’est une fic­tion) que le décon­fine­ment avait lais­sé per­plexe et insat­is­fait a mod­i­fié la donne. La lib­erté de cir­culer, oui pourquoi pas, mais dans un ray­on de 100 kilo­mètres, car au-delà, le risque de con­t­a­m­i­na­tion est sans doute trop impor­tant. L’in­co­hérence est la mar­que de ce gou­verne­ment. Se baign­er oui, mais pas d’alan­guisse­ment sur le sable. Pren­dre un métro ser­rés comme des sar­dines, oui, mais ailleurs, il fau­dra respecter un mètre de dis­tan­ci­a­tion.  Si l’on con­tre­vient à ces injonc­tions, un agent for­mé pour l’oc­ca­sion pour­ra vous morigén­er avec vigueur sans pour autant pos­séder la moin­dre fonc­tion judiciaire.

Beau­coup de mesures m’in­quiè­tent et ali­mentent mon cour­roux, mais je les garde pour mon prochain message.

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