Vaccin contre le coronavirus: Etre vacciné ou ne pas être vacciné ? Là est la question
Nous avons aujourd’hui à notre disposition trois vaccins. Mais les centres de vaccination n’offrent pas une palette complète des vaccins afin que tout un chacun puisse opter pour un laboratoire ou pour un autre. En effet les centres de vaccinations sont dotés d’un seul vaccin contre le coronavirus. Si par mégarde celui-ci ne vous convient pas, il est trop tard pour revendiquer le souhait de choisir. De fait, il est imposé et hop … passez muscade!
Il reste à chacun de se déterminer quant à la possibilité d’accepter le vaccin contre le coronavirus ou de le refuser. Pour influencer notre décision, les pouvoirs publics sont à la manœuvre et emploient les grands moyens pour nous convaincre que seule la vaccination peut enrayer la pandémie. Les médias aux ordres ne sont pas les derniers pour assener la seule vérité autorisée, c’est-à-dire, les bienfaits du vaccin. Les médecins et autres infectiologues, pour certains stipendiés par les labos, n’ont de cesse de mettre à l’index les récalcitrants qui, par leurs refus, mettent en danger leurs familles.
Les maires de toutes obédiences confondues sont unanimes : nous avons l’obligation citoyenne d’offrir nos frêles épaules aux seringues afin de préserver l’intégrité physique de nos vieillards. Seuls quelques hurluberlus osent défier la doxa médicale. Se faire vacciner oui, mais ces vaccins, qui n’en sont pas tous, car utilisant une thérapie génique à base d’ARN messager pour certains, sont-ils sans danger ? Connait-on les effets indésirables à long terme et comment expliquer cette frénésie à piquer le monde entier ?
De surcroit, tous les jours, un nouveau variant apparait avec sa cohorte d’incertitudes. Les individus préalablement vaccinés sont-ils à l’abri des attaques de ces variants facétieux ? De nombreuses questions peuvent légitimement distiller le doute dans l’esprit des gens qui gardent un soupçon d’esprit critique.
Les tests qui détectent sans discontinuer des milliers de cas positifs journellement sont-ils réellement fiables ? De plus, on admet qu’un taux significatif de cas sont asymptomatiques, or la certitude de la possible contamination n’est pas confirmée. Enfin, que penser de l’afflux de candidats vaccins ? Une quinzaine frappent à la porte, alors que depuis des lustres on crie à qui veut l’entendre que les recherches sur les coronavirus sont vouées à l’échec. Quid du vaccin contre le VIH ?
Les pontes des labos rétorquent que les recherches sur l’ARNm ont débutés voilà dix ou quinze ans. Certes, mais comment expliquer la réussite des vaccins conventionnels que développent les Russes et les Chinois, et bien d’autres, en un temps qui n’excède pas quelques mois. Tous ces indices concourent à instaurer un climat de défiance légitime peu propice à accepter une campagne de vaccination faite dans l’urgence.
Si je voulais conforter une prise de position que d’aucuns considèreront de complotiste, j’évoquerais brièvement que la thèse de la contamination via la chauve-souris associée au pangolin me laisse pantois. Une petite manip humaine n’est pas à exclure. Accidentelle ou délibérée paraît plus vraisemblable. Être complotiste consisterait à croire en la thèse du virus créé par l’humain dans le but d’infecter l’humanité. Mais dans quel but ? Là est la question ?